THE CALLING réalisé par JASON STONE

                                     avec : SUSAN SARANDON, GIL BELLOWS, ELLEN BURSTYN, TOPHER GRACE, DONALD SUTHERLAND,                                                              CHRISTOPHER HEYERDAHL

                                    scénario : SCOTT ABRAMOVITCH

                                   d'après THE CALLING de INGER ASH WOLFE

                                   musique : GRAYSON MATTHEWS

                                                                                                       CANADA 2014

l'histoire :  Fort Dundas, paisible petite ville ontarienne. Hazel Micallef (Susan Sarandon), policière alcoolique qui vit chez sa mère Emily (Ellen Burstyn), doit enquêter sur des meurtres en série à travers le Canada. Avec l'aide de son vénérable collègue Ray (Gil Bellows) et de Ben (Topher Grace), jeune recrue dépêchée de Toronto, mais aussi du Père Price (Donald Sutherland), Hazel découvre que toutes les victimes présentent des similarités reliées à un sacrifice religieux. Réussira-t-elle à arrêter le meurtrier avant qu'il ne soit trop tard?

nouvelle piste, nouvelle direction

hazel a la conviction d'avoir affaire a un tueur en série 

la mort peu intervenir a chaque instant !!

le père price (DONALD SUTHERLAND) personnage clé du film

transferé de toronto, ben wingate (TOPHER GRACE) un complément précieux sur le terrain pour hazel

ray green (GIL BELLOWS) demande a hazel de passer la main sur cette enquete

hazel micallef (SUSAN SARANDON) passe ses soirée dans les bars a fort dundas ou il ne se passe jamais rien 

MA CRITIQUE : THE CALLING restera un film mineur au panthéon des films de tueur en série, mais plutot pas mal fichu, il distille quelques fois un malaise de part l'interprétation sans faille de CHRISTOPHER HEYERDAHL dans le role de simon qui preche la réssurection a travers ses victimes, correctement réalisé par JASON STONE dont c'est le premier long métrage, mais l'ensemble souffre tout de meme de quelques longueur, le casting est de haute volé et si l'interprétation de SUSAN SARANDON est parfaite son personnage souffre du manque de crédibilité (une femme agée alcoolique et accro aux médoc face a un sérial killer de cette trempe hummmm), nous retrouvons avec plaisir ELLEN BURSTYN (L'EXORCISTE) et le talentueux DONALD SUTHERLAND véritable pivot du film........un film très interressant en attendant d'autres oeuvres de JASON STONE.

A NOTER : la maison qui appartient a KRISTIN BOOTH  qui joue le role de grace batten est devenu depuis un BED & BREAKFEST.......le film fut tourné dans la communauté de DUNDAS dans HAMILTON en ONTARIO.

MA NOTE : 7/10      

le personnage de ZORRO fut créé en 1919 par JOHNSTON McCULLEY, celui-ci c'est inspiré du MOURON ROUGE ou THE SCARLET PIMPERNEL personnage fictif de justicier anglais sous la révolution française, McCULLEY transforma le tout en un justicier masqué vetu entièrement de noir et qui combat l'injustice dans la CALIFORNIE ESPAGNOLE du XIX siècle , plus tard BOB KANE et le scénariste BILL FINGER s'inspireront de ZORRO pour crée BATMAN !!!

le premier ZORRO de l'histoire et du bon !!!

DOUGLAS FAIRBANKS (ZORRO) face au capitaine juan ramon (ROBERT McKIM)

sortie en 1920 et en grande pompe du premier ZORRO intitulé : LE SIGNE DE ZORRO avec la star du moment DOUGLAS FAIRBANKS

THE VIGILANTES ARE COMING de 1936

ROBERT LIVINGSTONE incarnera deux fois ZORRO en 1936 qui seront les premiers films parlant du justicier

1940, l'un des meilleurs ZORRO réalisé par ROBERT MAMOULIAN (DOCTEUR JEKYLL ET MISTER HYDE) avec le très bon TYRONE POWER, LINDA DARNELL et le meilleur des mechants de l'époque le grand BASIL RATHBONE 

combat épique entre ZORRO (TYRONE POWER) et le capitaine esteben pasquale (BASIL RATHBONE)

un petit clip pour LE SIGNE DE ZORRO avec TYRONE POWER  

pour les personnes de ma génération et memes d'autres, le seul ZORRO a nos yeux est la serie tv de WALT DISNEY de 1957 a 1961 avec 78 épisodes en noir et blanc et 4 films de 50 minutes 

le seul, le vrai, l'unique ZORRO (GUY WILLIAMS)

tous les personnages récurant de la serie !!!

l'inoubliable générique !!! 

1962, un film qui passa souvent sur les chaines françaises, LE SIGNE DE ZORRO ou le role titre est tenu par le fils d'EROL FLYNN, SEAN FLYNN

ZORRO identifiable seulement avec son masque

1963 on fait dans le n'importe quoi, on associe ZORRO a des personnages qu'il n'aurait jamais du rencontrer dans la vie, pour un temps il se retrouve associé aux TROIS MOUSQUETAIRES et D'ARTAGNAN bien sur, avec dans le role titre le baraqué GORDON SCOTT qui fut TARZAN dans les années cinquante, puis MACISTE et ZORRO en passant par BUFFALO BILL et HERCULE pour devenir finalement un fantome......parce qu'il est mort !!!! .......mais le pire reste a venir .......... 

pas vraiment de ressemblance avec zorro, mais dans le style n'importe quoi c'est du tout bon

 on décroche le pompon avec cet improbable MACISTE CONTRE ZORRO, les deux heros ne vivant pas dans la meme époque se retrouvent pourtant adversaire d'un jour , a la barre nous retrouvons cette crapule d'UMBERTO LENZI et notre PIERRE BRICE national (comment vous ne connaissez pas ? WINNETOU cela ne vous dit rien ? ) en ZORRO, le sérieux du film donne au film un ton de comédie involontaire.

le combat entre MACISTE et ZORRO .......quelle rigolade !!!  

de 1964 a 1971 une flopée de film sur ZORRO sorte a l'emporte piece, souvent des productions italiennes ou espagnoles en manquent de western, en 1963 sort un film produit par EUROCINE (ce qui n'engage rien de bon !!!) ou cette fois-ci don diego de guadalupe (si ! si ! véridique) se faisant passer pour lache , organise la lutte se déguisant en zorro , il prendra la succession de son père qui lutta depûis 20 ans ......   

trois ZORRO pour le prix d'un ....qui dit mieux !!!

et ce qui devait arriver, arriva, les films érotiques ou porno soft s'empare du justicier masqué et nous donne deux navet, rigolo et bien kitsch , tout deux sortie en 1972, LES AVENTURES GALANTES DE ZORRO un film belge et LES CHEVAUCHEES AMOUREUSES DE ZORRO ......tout un programme !!!! 

hé oui ZORRO signe de partout ou il passe

1975 deux films sur ZORRO le premier est italien IL SOGNO DI ZORRO et le second est une co-production franco-italienne avec en vedette la star européenne du moment ALAIN DELON , si ce dernier est impeccable dans le role , il avouera plus tard qu'il a fait le film uniquement pour faire plaisir a son fils anthony

ALAIN DELON notre frenchie préféré de l'époque en justicier masqué au coté d'OTTAVIA PICCOLO

1981, le mythe touche le fond, en effet  ZORRO s'est foulé la cheville et fait appel a son frère jumeau bunny (sic!!) mais celui-ci demande des changement dans le costume de justicier car bunny est gay !!!!.......évidement les puristes rejetteront en bloc le film de PETER MEDAK ou tous les clichés sur les homosexuels sont dépeints du debut a la fin !!!  

GEORGE HAMILTON interprète un ZORRO.........gay !!!!

1983 une serie parodique voit le jour, ou fatigué ZORRO sénior délègue quelques tache a son rejeton junior, de très mauvaise qualité la série stoppe au bout de cinq épisodes   

PAUL REGINA et HENRY DARROW .......ZORRO père et fils !!!

1990 nouvelle serie pour ZORRO, si elle est similaire a la serie de WALT DISNEY, tout de meme quelques differences notables comme l'ami de ZORRO qui est un adolescent muet et surnommé felipe........DUNCAN REGEHR habitué au tv film et serie sera le nouveau ZORRO

générique des nouvelles aventures de zorro 

après dix sept ans d'abscence, ZORRO retrouve le grand écran et de fort belle manière, MARTIN CAMPBELL, réussit le retour du justicier masqué avec ANTONIO BANDERAS pour l'incarner de bien belle manière, 1998 une année phare pour ZORRO  

ANTONIO BANDERAS DON DIEGO DE LA VEGA

suite réussit du film de 1998, ANTONIO BANDERAS ce montre un zorro très convainquant 

ANTONIO BANDERAS, ZORRO pour la seconde fois au coté de CATHERINE ZETA-JONES 

en 2006, une coproduction entre les USA et LA COLOMBIE donne une excellente serie tv : ZORRO LA ESPADA Y LA ROSA, distribuée dans 97 pays , réalisé en COLOMBIE et qui est la plus grosse vente internationale.    

dernière production en date, un film hommage d'un fan français, DIDIER DE KRALL sortie en 2013 de 26 min utes, le réalisateur interprète lui-meme le double role de DON DIEGO et ZORRO

THE GIVER réalisé par PHILLIP NOYCE

                              avec : BRENTON THWAITES, ODEYA RUSH, MERYL STREEP, JEFF BRIDGES, ALEXANDER SKARSGARD, TAYLOR                                          SWIFT, KATIE HOLMES

                            scénario : MICHAEL MITNICK

                           d'apres LE PASSEUR de LOIS LOWRY

                           musique : MARCO BELTRAMI 

                                                                                                        USA 2014

l'histoire : Dans un futur lointain, les émotions ont été éradiquées en supprimant toute trace d'histoire. Seul "The Giver" a la lourde tâche de se souvenir du passé, en cas de nécessité. On demande alors au jeune Jonas de devenir le prochain "Giver"...

jonas et fiona bravent l'interdiction de se toucher

le monde du futur, sans couleur et uniforme

les trois amis inséparable, asher (CAMERON MONAGHAN), fiona (ODEYA RUSH) et jonas (BRENTON THWAITES)

le "passeur" (JEFF BRIDGES) et jonas étudient les possiblités d'un retour en arrière  

la mère de ce monde aspetisé, chef elder (MERYL STREEP) 

une famille "modèle" celle de jonas, sa mère (KATIE HOLMES) son père (ALEXANDER SKANSGARD) et sa petite soeur lily (EMMA TREMBLAY)

rosemary (TAYLOR SWIFT) ancienne élue comme "passeur" et mystérieusement disparue  

MA CRITIQUE : très proche de DIVERGENTE et HUGER GAMES, THE GIVER fut un flop au USA, pourtant ce teen movie de science-fiction avait tout les atouts pour plaire, adapté d'une tétralogie de 1993,THE GIVER est donc un des précurseur du genre bien avant le mielleux TWILIGHT  et l'inégal HUNGER GAMES. PHILLIP NOYCE depuis CALME BLANC n'avait pas réussit grand chose mis a part deux bons succes commerciaux, JEUX DE GUERRE et DANGER IMMEDIAT, avec ce nouveau film il relève un peu la tete, réalisant un film beaucoup plus sérieux que ces prédécesseurs et évite les débordement love story qui faisait les choux gras des oeuvres précédentes, le monde de THE GIVER est dépeint comme une sorte de fantasme a double tranchant ou un monde aseptisé, sans violence, tout sentiment est devenu obsolète et meme les couleurs ne sont plus d'actualitées......pour le casting comme je l'avais déja dis pour LE SIGNAL , une des nouvelles coqueluche d'HOLLYWOOD, BRENTON THWAITES parfait encore une fois et la troublante ODEYA RUSH qui agrémente le jolie couple d'amoureux qu'elle fait avec jonas, trois stars au menu : MERY STREEP en mère de la patrie , un role trop sobre pour etre vraiment apprécié, JEFF BRIDGES le meilleur acteur du film vraiment excellent dans son role du "passeur" et l'ex madame CRUISE, KATIE HOLMES dans un second role sans grand relief............sans etre vraiment génial, THE GIVER merite une suite avec plus de budget et de prétention !!!.........a écouter l'excellente bande originale de MARCO BELTRAMI.

A NOTER: le film est l'adaptation du roman LE PASSEUR  de LOIS LOWRY paru en 1993 au USA.........JEFF BRIDGES grand fan du livre tentera pendant dix ans de l'adapté au cinema............dans le roman le personnage principal jonas n'a que 12 ans contre 16 ans dans le film et inteprété par BRENTON THWAITES qui a 24 ans !!!...........DIANNA AGRON (NUMERO QUATRE et MALAVITA) a auditionnée pour un role mais sans succes.............le tournage eu lieu principalement a JOHANNESBOURG et au CAP en AFRIQUE DU SUD..........une semaine après son concert de LOS ANGELES, TAYLOR SWIFT a reçu le role de rosemary, les recruteurs du casting furent dans la salle de concert !!!

MA NOTE : 7/10               

LE CHANTAGE (shattered ou butterfly on a wheel) réalisé par MIKE BARKER

                                 avec : PIERCE BROSNAN, GERARD BUTLER, MARIA BELLO, NICHOLAS LEA, SAMANTHA FERRIS

                                 scénario : WILLIAM MORRISSEY

                                 musique : ROBERT DUNCAN

                                                                                                                USA 2007

l'histoire : La vie de Neil et Abby Warner est à tous points de vue parfaite : un couple idyllique, une adorable petite fille, une maison magnifique... Mais tout bascule lorsque leur fille est enlevée. Ils se rendent alors vite compte que le kidnappeur n'en veut pas à leur argent. Il cherche à les détruire en les confrontant au pire des dilemmes : tuer un innocent s'ils veulent sauver leur enfant...

impitoyable et pret a aller jusqu'au bout .......tom ryan !!

sous les yeux de son mari, ryan contraint abby a se déshabiller 

tout sourit a neil randall......pour le moment !!!!

la course contre la montre pour le couple randall

abby préfère prendre seule ses responsabilitées

ryan pousse a bout neil randall en lui montrant un dessin de sa fille

le couple randall, abby (MARIA BELLO) et neil (GERARD BUTLER) sous la menace de tom ryan (PIERCE BROSNAN)

MA CRITIQUE : ceux qui n'aiment pas ce film, n'aiment surement pas PIERCE BROSNAN, car sans etre extraordinaire il faut admettre que le scénario de BUTTERFLY ON A WHEEL tient en haleine, MIKE BARKER (LA MORT D'UN ROI, LA SEDUCTRICE) parvient a rendre un film correct dans la ligné de THE GAMES, si GERARD BUTLER est mauvais dans un role de mari apeuré et en proie au vertige, la composition de PIERCE BROSNAN en bad guy est d'une bonne performance qui change des ses roles de JAMES BOND ou gentil sauveteur du PIC DE DANTE, la touche féminine et de charme est assuré par MARIA BELLO (COPAINS POUR TOUJOURS 2 et PRISONERS), bien sur quelques situations tirées par les cheveux et un twist final surprenant qui nous assène de rebondissement parfois improbable, mais le suspens est la et c'est tout ce que l'on demande !!!

A NOTER : c'est la deuxième fois que PIERCE BROSNAN et GERARD BUTLER jouent ensemble depuis DEMAIN NE MEURT JAMAIS (1997)............le tournage s'est déroulé a CHICAGO et VANCOUVER au CANADA.............deux titres dans la versions US : SHATTERED et BUTTERFLY ON A WHEEL.

MA NOTE : 7/10