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PARENTS réalisé par BOB BALABAN
avec : RANDY QUAID, MARY BETH HURT, BRYAN MADORSKY, SANDY DENNIS, JUNO MILLS-COCKELL, KATHRYN GRODY
scénario : CHRISTOPHER HAWTHRONE
musique : JONATHAN ELIAS
récompenses : meilleur acteur RANDY QUAID et BRYAN MADORSKY au FANTAFESTIVAL en 1989
CANADA/USA 1989
l'histoire : Michael Laemle est un garçon menant une vie typique d'enfant des années 1950 dans un pavillon de banlieue américaine, si ce ne sont des cauchemars bizarres qui viennent souvent le hanter, ainsi qu'un vague sentiment de malaise qu'il ressent vis-à-vis de ses parents, et particulièrement de son père, Nick. Michael en vient même à suspecter ses parents de ne pas faire uniquement de la viande classique sur le barbecue du jardin. Mais il ne sait pas trop comment en parler, que ce soit à sa nouvelle copine Sheila ou à la conseillère d'éducation de son école…
nick (RANDY QUAID) et lily (MARY BETH HURT) au barbecue humain !!!!!
le jeune michael (BRYAN MADORSKY) observe le manège de ses parents
il est temps de cuisiner !!!!
MA CRITIQUE : incompréhensiblement soutenu par la critique professionnelle PARENTS s'avère pour ma part une grosse déception, un scénario d'une simplicité extraordinaire ou il faut quasiment les trois quarts du film pour comprendre le comportement bizarre ses parents.....aucun message a l'horizon, ni morale mais le simple fait de raconter une histoire qui aurait pu virer au court-métrage......le réalisateur PAUL BALABAN plus a son aise en tant qu'acteur (JAKOB LE MENTEUR, MONUMENTS MEN'S) n'aura pas souvent les honneurs du grand écran car la plupart seront des TV films, c'est donc son "chef d'oeuvre" et unique qu'il met en scène de façon plutot correcte.....le casting comprend RANDY QUAID bon acteur mais sans plus, il est accompagné de MARY BETH HURT vu dans DARYL et L'EXORCISME D'EMILY ROSE......la satisfaction vient de la B.O sublime aux accents des 50'S.......un film qui n'est pas a la hauteur de sa renommé !!!
A NOTER : le titre allemand dévoile un peu le sujet avec PAPA EST UN CANNIBALE .
MA NOTE : 4/10
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LE FILS DE KONG (son of kong) réalisé par ERNEST SCHOEDSACK
avec : ROBERT AMSTRONG, HELEN MACK, FRANCK REICHER, JOHN MARSTON, VICTOR WOMG, ED BRADY,
scénario : RUTH ROSE
musique : MAX STEINER
effets spéciaux : WILLIS O'BRIEN
USA 1933
l'histoire : Encore traumatisé par la mort de Kong, Carl Denham décide de quitter définitivement New York. Il s'embarque pour une nouvelle expédition vers l'île de Kong, afin de terminer le travail qu'il n'avait pu achever lors de son précédent voyage. Une mutinerie éclate bientôt à bord du navire....
le couple va faire copain copain avec le rejetton de king kong !!!!
denham nostalgique devant l'affiche de king kong !!!!
un autre combat mais moins palpitant que celui de son père !!!!
carl denham (ROBERT AMSTRONG) a une nouvelle égérie hilda peterson (HELEN MACK)
les méchants finissent dévorés !!!!
l'armature du serpent de mer et son utilisation !!!!
le gentil kong contre l'ours des cavernes !!!!
MA CRITIQUE : c'est avec impatience que j'attendais de découvrir la suite du chef d'oeuvre de MERIAN C.COOPER et ERNEST B. SCHOEDSACK : KING KONG mais la déception fut gigantesque tout comme le gorille roi !!! d'une durée courte de 60 minutes, c'est au bout de 40 minutes que le film démarre enfin entre temps nous pouvons prendre l'apéro bien tranquillou, lorsque carl denham et son équipe débarque sur l'île de kong (sans doute skull island) mais la aussi la déception se fait sentir en découvrant un petit gorille tout de blanc velu au faciès cartoonesque, quelques combats se déroule donc un contre un ours des cavernes géant mais rien de mémorable mis a part un triceraptos assez bien fait le magicien des effets spéciaux WILLIS O'BRIEN a perdu de sa superbe, les pygmés sont réduit a une poignée tandis que l'île n'est jamais exploré et c'est le même plan qui est remis a chaque fois .......mauvais, jamais interressant, ce SON OF KONG désert plus le grand KING KONG qu'autre chose
A NOTER : le visage du petit kong est celui de king kong lors du combat avec le t-rex....................le nom du gorille est en fait kiko mais il ne fut jamais utilisé malgré la promotion de la R.K.O....................les enregistrements des cris de FAY WRAY du KING KONG furent utilisés dans le film....................SON OF KONG avait un budget de 290 000 $ tandis que KING KONG dépassé les 600 000 $.................il n'y a qu'une victime dans le film, le méchant dévoré par le serpent de mer géant.
MA NOTE : 4/10
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THE STATION ou BLOOD GLACIER (blutgletscher) réalisé par MARVIN KREN
avec : GERHARD LIEBMANN, EDITA MALOVCIC, BRIGITTE KREN, SANTOS, HILLE BESELER, PETER KNAACK
scénario : BENJAMIN HESSLER
musique : STEFAN WILL, MARCO DECKKOTTER
effets spéciaux : KARLO BARBER
récompenses : 4 prix dont celui du meilleur acteur pour GERHARD LIEBMANN a l'AUSTRIAN FILM AWARD en 2014
AUTRICHE 2013
l'histoire : Janek est technicien dans une station climatique perchée dans les Alpes. Solitaire, ses relations compliquées avec les scientifiques de la station - dont il tolère tout au plus la présence - deviennent d’autant plus exacerbées qu’approche la visite officielle du ministre de l’Environnement. Mais leur routine quotidienne est brusquement chamboulée par la découverte du « sang » d’un glacier avoisinant : un liquide rougeâtre qui, en coulant à la fonte des glaces, semble provoquer d’étonnants changements sur les animaux, les transformant en de monstrueuses créatures...
des effets spéciaux pas au top mais efficaces !!!!
première découverte ce scarabé geant
certaines personnes sont vite contaminées
une neige de sang qui va intriguer nos chercheurs
janek (GERHARD LIEBMANN) et tanja (EDITA MALOVCIC) deux ex-amant au milieu de la tourmente
de simple insecte peuvent devenir mortel
le dénouement est sanglant et proche
MA CRITIQUE : également connu sous le titre de BLOOD GLACIER, THE STATION est un film autrichien qui pille sans vergogne THE THING de JOHN CARPENTER, ici l'élément n'est pas d'origine extra-terrestre mais de créatures hybrides génétiques, le budget n'est pas lourd mais c'est proprement filmé et les effets spéciaux sobres reste efficaces, ne parlons pas du casting que des inconnus a noter simplement une des actrices qui incarne une ministre (BRIGITTE KREN) qui est le clone d'ANGELA MERKEL c'est pour vous dire.........malgré donc un scénario des plus convenu et quelques approximations (une jeune femme sortant de nulle part en plein milieu du film est sauvagement attaquée) , la tension reste palpable mais la fin est raté.......on n'attendait pas grand chose de ce film sinon quelques débordement gore mais que néni !!!
MA NOTE : 5,5/10
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DOCTEUR JERRY ET MISTER LOVE (the nutty professor) réalisé par JERRY LEWIS
avec : JERRY LEWIS, STELLA STEVENS, DEL MOORE, KATHLEEN FREEMAN, HOWARD MORRIS, ELVIA ALLMAN
scénario : JERRY LEWIS et BILL RICHMOND
musique : WALTER SCHARF
USA 1963
l'histoire : Julius Kelp est un timide professeur de chimie, au physique peu avantageux mais aux brillantes capacités intellectuelles. À la suite d'une dispute avec l'un de ses élèves, il se retrouve coincé sur une étagère dans le placard de sa classe. Secouru par Stella, une étudiante dont il est secrètement amoureux, il va tenter d'acquérir un physique plus avantageux en suivant des cours de musculation.
Hélas, le succès n'est pas au rendez-vous. Aussi décide-t-il de faire appel à ses connaissances en chimie pour inventer un élixir qui le transformera en homme séduisant. Il réussit au-delà de toute espérance et se métamorphose en Mister Love, un playboy séducteur mais égocentrique, cynique et macho. Vers la fin du film, il découvrira que Stella le préfère sous l'apparence de Julius et il se repentira. Stella n'oubliera pas, cependant, son irrésistible attrait pour le séduisant Mr.Love.
buddy love en véritable crooner
beau !!! le couple idéal que dénonce JERRY LEWIS !!!
julius kelp va progressivement se transformer !!!
gag cartoonesque pour notre plus grand plaisir !!!
affiche asiatique !!!
une transformation en buddy love qui ne passe pas inaperçu !!!!
la risée des cours !!!
malgré leur difference, stella (STELLA STEVENS) ce sent proche du professeur julius kelp (JERRY LEWIS)
MA CRITIQUE : le duo DEAN MARTIN/JERRY LEWIS s'épuisa au point que ce dernier décida de voler de ses propres aîles, après quelques apparitions en solo, il passe a la réalisation et THE NUTTY PROFESSOR devient l'un de ses films les plus célèbres......JERRY LEWIS s'est approprié le roman de ROBERT LOUIS STEVENSON : L'ETRANGE CAS DU DOCTEUR JEKYLL ET Mr HYDE pour en faire un règlement de compte avec la société américaine qui met sur un piedestal la beauté humaine, beaucoup de gaga parsème ce film, les meilleurs sont dans la première partie mais J.LEWIS donne la mesure de tout son talent qu'il soit dramatique ou comique, la blonde STELLA STEVENS (UN NOMME CABLE HOGUE, LE FAISEUR D'EPOUVANTE) sorte de clone de MARYLIN MONROE donne bien le change a LEWIS ....quelques scènes jazzy, un classique de la comédie qui reste incontournable !!!
A NOTER : certains bruit on couru comme quoi buddy love était la représentation satirique de DEAN MARTIN..................début d'HENRY GIBSON (BLUES BROTHERS)......................apparition de CLIFF ROBERTSON qui allume une cigarette non crédité...................le tournage eu lieu a l'UNIVERSITE D'ETAT DE L'ARIZONA a TEMPE....................un remake du film LE PROFESSEUR FOLDINGUE est sorti en 1996.
MA NOTE : 8/10
behind the scènes !!!
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47 RONIN réalisé par CARL ERIK RINSCH
avec : KEANU REEVES, HIROYUKI SANADA, RINKO KIKUCHI, KO SHIBASAKI, TANADOBU ASANO, JIN AKARISHI
scénario : HOSSEIN ARMINI, CHRIS MORGAN
musique : ILAN ESHKERI
USA 2013
l'histoire : Un perfide seigneur de guerre ayant tué leur maître et banni leur tribu, 47 samouraïs errants jurent de se venger et de restaurer l'honneur de leurs compatriotes. Arrachés à leurs foyers et perdus aux quatre coins des terres connues, cette poignée de rebelles se voit contrainte de recourir à l'aide de Kai - un demi sang qu'ils avaient jadis renié - lors de leur combat à travers un univers violent, peuplé de monstres mythologiques, de métamorphoses maléfiques et d'effroyables dangers. Cet exil sera l'occasion pour cet esclave rejeté de se révéler leur arme la plus redoutable, et de devenir la figure héroïque qui donnera à cette troupe d'insoumis l'énergie de marquer à jamais l’éternité.
de bruit et de fureur
la sorcière prend de multiple forme
kai (KEANU REEVES) va former un groupe de 47 soldats appelés ronin
leur sort entre leurs mains !!!
la belle sorcière qui sera source de conflit
un tournage chaotique !!!
kira (TANADOBU ASANO) ne rêve que de pouvoir
MA CRITIQUE : CARL ERIK RINSCH ancien créateur de spot publicitaire pour voiture se lance dans le grand bain du cinéma, le sujet n'est pas facile et offre de multiple comparaison avec des prédécesseurs devenus cultes.....le résultat est mitigé malgré une bonne mise en scène et certains décors superbes, c'est le manque d'émotion qui sera la grande lacune du film, un budget conséquent ne sauvera pas le film de l'échec commercial, grand retour de KEANU REEVES au premier plan qui n'aura finalement que très peu de dialogue le reste du temps c'est masqué qu'il interprète "le sang mélé", une surprise au casting avec HIROYUKI SANADA l'ex interprète d'ayato de la célèbre série nippone SAN KU KAI .......le réalisateur aura le mérite d'avoir pris des risques mais le résultat n'est pas au rendez-vous !!
A NOTER : le tournage s'est d'abord déroulé en japonnais..................sorti en ESPAGNE sous le titre LA LEGENDE DU SAMOURAI...................les couleurs des yeux de la sorcières est une maladie appelé HETEROCHROMIE.
MA NOTE : 6,5/10
making of !!!
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