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KILLING GROUND
réalisé par DAMIEN POWER
avec : AARON GLENANE, STEPHEN HUNTER, MITZI RUHLMANN, HARRIET DYER, AARON PEDERSEN, IAN MEADOWS
scénario : DAMIEN POWER
musique : LEAH CURTIS
récompenses : prix du meilleur film d'horreur a I HORROR AWARD en 2018
AUSTRALIE 2017
l'histoire : lorsque ian et samantha un jeune couple qui espère passer un week -end tranquille dans un parc national arrivent a destination, ils découvrent un véhicule 4X4 et une autre tente déja installée mais aucune trace de leur propriétaire , pas même a la nuit tombée ...l'inquiétude commence a monter peu après la découverte d'un enfant abandonné dans les bois , une série d'évènement terrifiant mettra le couple a rude épreuve..........................
le danger a chaque détour !!!
chook pris au piège !!!!
chook (AARON GLENANE) et german (AARON PEDERSEN) deux rednecks sans pitiés !!!
le moindre bruit devient source de menace
MA CRITIQUE : réinventer le genre survival chaque année devient une gageure, les australiens sont de nouveaux sur les rangs pour revaloriser le genre, l'influence de DELIVRANCE (1972) sur le réalisateur DAMIEN POWER est considérable il y fait d'ailleurs allusion au début lorsque l'une des protagonistes trouve une définition de mots-croisées donc :délivrance !!!......l'originalité tombe une fois de plus a l'eau mais le côté malsain prend vite le pas et ceux malgré un début assez lent ou l'ambiance n'est pas forcément étouffante, l'intelligence du scénario est de mélanger les situations présent/passé jusqu'au dénouement final qui va vite prendre au tripes ......les acteurs bien qu'inconnus du grand public sont assez bons , seule la fin abrupte déconcerte .....un peu comme cette histoire qui fait froid dans le dos !!!!
MA NOTE : 7,5/10
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LES RATS DE MANHATTAN (rats notte di terrore)
réalisé par BRUNO MATTEI
avec : OTTAVIANO DELL 'ACQUA, GERETTA GERATTA, MASSIMO VANNI, GIANNI FRANCO, ANN GISEL-GLASS
scénario : CLAUDIO FRAGASSO et BRUNO MATTEI
musique : LUIGI CECCARELLI
effets spéciaux : MAURIZIO TRANI
ITALIE/FRANCE 1984
l'histoire : des siècles après l'holocauste nucléaire, un groupe du survivants arrive dans une ville avec de nombreux cadavres, mais cette ville abrite une grande quantité de nourriture , un groupe décide donc de rester mais la nuit venue des rats mutants les attaques .........
tout feu, tout flamme !!!
la tête pensante du groupe FAUSTO LOMBARDI
qui c'est qui va finir tout cramé !!!!
affiche américaine !!!!
ha quand même nous ne sommes pas venus pour rien....un cadavre dévoré par des rats !!!!
mon dieu !!! deux rats sur la fifille que vont s'empresser de retirés ses compagnons d'infortune
MA CRITIQUE : l'un des plus grands tacheron du cinéma italien se nomme BRUNO MATTEI alias VINCENT DAWN avec LES RATS DE MANHATTAN il a fait fort, nouveau film post-apocalyptique engendré par la vague MAD MAX , B.MATTEI lui ne s'embarrasse pas en détail, après un prologue des plus comiques, une voix off nous explique la déchéance de l'humanité sur des images stocks shots du grand canyon et ceci le plus sérieusement possible (cela commence bien) la suite est a son avenant MATTEI utilise des décors minimalistes ..en fait un seul, une pièce et son sous-sol , MATTEI garde son pognon pour les effets bien craspecs (pas beaucoup en fait), les attaques de rat sont risibles, jetés a la gueule des acteurs et ses derniers sont attaqués par des millier ..heu je voulais dires des centaines ..bon allez va pour une dizaine de rats mais je ne descendrais pas plus bas !!!! les acteurs parlons-en, d'une nullités sidérantes font passer le rat blanc pour le meilleur acteur du film, les rats plutôt malmenés car brulés vif par un lance flamme (on n'imagine mal des effets visuels conçu pour cela) quand je vous dis que le père MATTEI ne s'embarrasse pas de futilité , mais le clou du film (et il fait mal) c'est la scène finale que je vous dévoilerais pas du plus haut comique ....bon courage pour le visionnage !!!
A NOTER : ce film fut sorti en ALLEMAGNE comme le troisièmer opus des GUERRIERS DU BRONX d'ENZO G.CASTELLARI
MA NOTE : 1/10
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OSIRIS LA 9ème PLANETE (the osiris child science-fiction volume one)
réalisé par SHANE ABBESS
avec : KELLAN LUTZ, DANIEL McPHERSON, ISABEL LUCAS, RACHEL GRIFFITHS, LUKE FORD, TEMUERA MORRISON, TEAGAN CROFT
scénario : SHANE ABBESS et BRIAN CACHIA
musique : BRIAN CACHIA
AUSTRALIE 2016
l'histoire : dans un futur lointain, l'humanité par a la conquête de nouvelles planètes habitables. l'entreprise exor est chargée d'organiser la vie de ses nouveaux mondes , mais un jour kane un de ses principaux lieutenant , découvre que la planète osiris qui héberge sa fille est menacée d'un virus mortel , il se lance alors dans une course contre la montre pour la sauver...............
warden mourdain (TEMUERA MORRISON) l'impitoyable directeur du pénitencier
de beaux effets visuels pour un petit budget
préparation pour l'évasion
indi (TEAGAN CROFT) doit retrouver son père
lombrok (KELLAN LUTZ) en quartier haute sécurité
l'échappatoire va être délicat
gyp (ISABEL LUCAS) la junkie qui n'a peur de rien
kane sommerville (DANIEL McPHERSON) entraîne sa fille au combat
les créatures dangereuses du film
MA CRITIQUE : voila un film australien de science-fiction passé complètement sous silence et pourtant ....un scénario réjouissant découpé en plusieurs tome et dans un ordre inégal avec de multiples surprises comme la scène du combat aérien superbement mise en scène, le seul point négatif est la conception des monstres qui laissent a désirer, le casting est composé d'acteur australien pour les têtes d'affiches et a signaler la belle performance de la jeune TEAGAN CROFT.......un petit budget pourtant THE OSIRIS CHILD SCIENCE FICTION VOLUME ONE a des allures de blockbuster et l'on attend vivement une suite du même niveau !!!
A NOTER : ISABEL LUCAS a personnellement choisi les tatouages de son personnage pour le film
MA NOTE : 8/10
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ARIZONA COLT
réalisé par : MICHELE LUPO
avec : GIULIANO GEMMA, FERNANDO SANCHO, CORINNE MARCHAND, GIOVANI PAZZAFINI, ROBERTO CARMARDIEL
scénario : LEWIS E.CIANELLI
musique : FRANSCECO DE MASI
ITALIE/FRANCE 1966
l'histoire : gordo et sa bande de malfrats libère des prisonniers et les obligent a se joindre a son gang ou mourir, arizona colt refuse l'un et l'autre se dirige vers la petite ville de blackstone city ou gordo projette de faire la banque , sur place un des homme du gang tue dolores une fille du saloon, arizona se propose de retrouver le meurtrier pour la somme de 5000 $
décidément rien ne change dans le western spaghetti
affichette américaine !!
une association indispensable avec double whisky (ROBERTO CARMARDIEL)
arizona colt ne gagne pas a tous les coups
l'histoire démarre sur le meurtre de dolores (ROSALBA NERI)
arizona colt doit avoir les yeux derrière la tête !!!
les armes les plus sophistiquées sont pour torrez gordo (FERNANDO SANCHO)
jane (CORINNE MARCHAND) et arizona colt (GIULIANO GEMMA) dans un court moment de détente
MA CRITIQUE : sorti la même année que LE BON, LA BRUTE ET LE TRUAND, ARIZONA COLT se rapproche pourtant de ET POUR QUELQUES DOLLARS DE PLUS sans atteindre la qualité de ce dernier, MICHELE LUPO réalise un bon western spazghetti, nous retrouvons tous les ingredients ,le méchants chef mexicain incarné par un FERNANDO SANCHO ventru et rigolard, le héros a bien le teint basané et les dents blanches mais rasé de près et propre sur lui, GIULIANO GEMMA arrogant et sur le lui, son acolyte double whisky compé par ROBERTO CARMARDIEL dont le profil ressemble a celui de BUD SPENCER, la touche féminine est assuré par la française CORRINNE MARCHAND.......la musique et chanson de FRANCESCO DE MASI est superbe et vu en version longue est remastérisé ce film fait parti des meilleur ersatz du western spaghetti, malgré un scénario mille fois vu il n'en demeure pas moins un bon spectacle !!!
A NOTER : connu également sous le titre THE MAN FROM NOWHERE
MA NOTE : 7/10
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RAKKA
réalisé par NEILL BLOMKAMP
avec : SIGOURNEY WEAVER, EUGENE KHUMBANYIWA, ROBERT HOBBS, CARLY POPE, BRANDON AURET, ALEC GILLIS
scénario : NEILL BLOMKAMP, THOMAS SWETERLITSCH
musique : LORNE BALFE
CANADA/USA 2017
l'histoire : RAKKA se déroule dans un futur proche en 2020 , alors que la terre est envahi par des créatures géantes capables de controler les esprits , l'humanité semble vouée a l'esclavage ....tant bien que mal les humains mettent en place une rébellion menée par une femme : jasper............................
jasper (SIGOURNEY WEAVER) a tête des survivants
toi tas pas une gueule de porte bonheur !!!!
les aliens dévastent les grandes villes
les aliens se servent de bouclier humain
le méthane commence a prendre la place de l'oxygène
les squelettes humains recouvrent désormais les célèbres monuments
réduit en esclavage, l'espèce humaine est appelée a disparaitre
MA CRITIQUE : NEILL BLOMKAMP après DISTRICT 9, ELYSIUM et CHAPPIE est de nouveau tourmenté par un futur peu reluisant, de nouveau nous sommes confrontés a un bien piètre avenir avec un court-métrage de haut vol : RAKKA, certes les 22 minutes paraissent bien courtes, oui les idées sont piquées a d'autres blockbusters : ALIEN, INDEPENDANCE DAY, TERMINATOR et PREDATOR (rien que cela) mais la qualité proposé est extraordinaire, de la réalisation en passant par une sublime photographie , une bande son fracassante et une surprise au casting la révélation de 1979 avec ALIEN : SIGOURNEY WEAVER !!!!......une atmosphère bien poisseuse ou les bons effets visuels trouvent leur place ......un premier épisode donc que vous pouvez voir gratuitement sur la chaîne YOUTUBE mais le but est de faire payer le deuxième opus si le public est prêt pour cela ......a suivre !!!!
A NOTER : RAKKA est un mot japonais qui signifie fall mais en islandais il veut dire mâle.....................le rôle de SIGOURNEY WEAVER était a l'origine écrit pour un homme.
MA NOTE : 9/10
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