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JUSQU'A CE QUE LA FIN DU MONDE NOUS SEPARE (SEEKING A FRIEND FOR THE END OF THE WORLD) réalisé par LORENE SCAFARIA
avec : STEVE CARELL, KEIRA KNIGHTLEY, WILLIAM PETERSEN, MELANIE LYNSKEY, MARTIN SHEEN
musique : JONATHAN SADOFF/ROB SIMONSEN
scénario : LORENE SCAFARIA
USA 2012
l'histoire : a la radio l'annonce de la dernière tentative d'éviter une collision avec un astéroide a échoué et dans trois semaines l'impact détruira l'humanité, tandisque certains continuent leur routines et d'autres tous les exces, dogde nouvellement célibataire part a la recherche de son amour de jeunesse, mais sa rencontre avec penny va boulverser tous ses plans .
ils ne devaient jamais ce rencontrer , penny, dodge (STEVE CARELL) et le chien sorry
solitaire a deux ...........pour une dernière journée a la plage
pour penny (KEIRA KNIGHTLEY) la chose la plus précieuse sont ses vlnyls
deux objectifs pour l'un et l'autre.....pour penny retrouver ses parents et pour dodge rejoindre l'etre aimé
ses derniers instant avant l'apocalypse dodge veut le passer seul a ruminer son passé
dernier moment de délire pour penny et dodge
STEVE CARELL en plein tournage au mileu de figurants
MA CRITIQUE : hé oui plus que trois jours et c'est la fin du monde, donc le sujet du film en toile de fond est plus que d'actualité, pour son premier film LORENE SCAFARIA a choisi de mélanger trois genres : la comedie, la romance et la dramaturgie, choses qu'elle a totalement ratés car pour ce qui est de la comedie ce n'est les trois situations cocassent qui vont nous arracher un sourrire, pour la romance ont ne sent pas le couple fusionel et meme la fin parait baclée, pour le drame seul les casseurs dans les villes font penser a un évènement destructeur ou une pandemie.....seule les interprétations de STEVE CARELL (excellent il a peut etre trouvé sa voie dans le drame) et KEIRA KNIGHTLEY permettent au film de ne pas sombrer corps et ames, une belle photographie et une B.O savoureuse enjolivent un peu le tout.....mais grosse déception tant l'ennuie nous prend !!!
A NOTER : lors de la première scène dans la voiture, STEVE CARELL et NANCY CARELL sont vraiment un couple dans la vie........lorsque penny prend une pile de disque vinyl avant de quitter son appartement on peut voir un 33t de LOU REED "coney island baby"........aucun indice sur une date précise dans le film........pour incarner le chien sorry, quatres chien de terriers aleisters ont été sauvés de la spa........le film a été tourné a LOS ANGELES.
MA NOTE : 5/10
vés
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DEMOLITION MAN réalisé par MARCO BRAMBILLA
avec : SYLVESTER STALLONE, WESLEY SNIPES, SANDRA BULLOCK, BENJAMIN BRATT, NIGEL HAWTHORNE, ROB SCHNEIDER
musique : ELLIOT GOLDENTHAL
scénario : PETER LENKOV, ROBERT RENEAU, DANIEL WATERS
prix : meilleur film au box office au ASCAP AWARD 1994
USA 1993
l'histoire : nous sommes en 1996 et en voulant capturer simon pheonix, le sergent john spartan se rend coupable d'homicide par imprudence et condanné a etre cryogenise tout comme pheonix pendant 70 ans , mais ce dernier est libéré dans une civilisation ou le crime a disparu.....seul spartan peut le stopper
le commanditaire de la liberation de phoenix pour mieux le servir, raymond cotteau (NIGEL HAWTHORNE) pere de le civilisation aseptisée
simon phoenix (WESLEY SNIPES) qui se sent comme chez lui en 2032
la bonne année pour STALLONE apres CLIFFHANGER c'est le DEMOLITION MAN
une insulte ? et c'est une amende !!!
john spartan est desormais condanné a etre cryogénisé pendant 70 ans
combat dantesque entre spartan et simon pheonix
john spartan (SYLVESTER STALLONE) et la voiture du futur
lenina huxley (SANDRA BULLOCK) qui était en manque de sensation va etre servie
"MMD" meurtre, mort, detruire c'est le signal qu'emploie la police du futur
MA CRITIQUE : 1993 marque le grand retour de STALLONE apres une traversé du desert assez courte mais parsemé de navets, pour son deuxieme film de science-fiction il met en plein dans le mille car tout est parfait, du scénario original et inventif (meme si deux ennemis se retrouvant dans le futur a été déja vu dans C'ETAIT DEMAIN) des acteurs au top niveau, STALLONE au sommet de sa forme et l'un de ses films ou il excelle dans la comedie, WESLEY SNIPES en parfait psychopathe et quelques second roles qui vont devenir célèbres plus tard , l'excellente SANDRA BULLOCK, ROB SCHNEIDER comique a la petite semaine et une apparition en tant que figurant d'un autre lourdeaux du comique U.S : JACK BLACK ......les clin d'oeils sont nombreux et savoureux : l'allusion de SCHWARZIE comme president des états-unis, l'affiche de L'ARME FATALE dans le bureau de police du future ect ....bonne musique, film bourrés d'action bref un grand spectacle a revoir !!!!
A NOTER : SANDRA BULLOCK a remplacé LORI PETTY (SAUVEZ WILLY) apres quelques jours de tournage........STALLONE voulait que le role du mechant soit interprété par JACKIE CHAN ce dernier refusa de jouer les bad guys.......les prototypes des voitures du futur ont été fourni par GENERAL MOTORS.......pour les versions sud americaines PIZZA HUT a été changé en TACO BELL.......le titre du film est tiré d'une chanson du groupe POLICE.......les deux premiers choix d'acteurs furent STEVEN SEGAL et JEAN CLAUDE VAN DAMME......au KOWEIT le film sorti sous le titre de RAMBO THE DESTROYER !!!!!..
MA NOTE : 10/10
E
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CADAVRES A LA PELLE (burke and hare) réalisé par JOHN LANDIS
avec : SIMON PEGG, ANDY SERKIS,ISLA FISHER, JESSICA HYNES, TIM CURRY, TOM WIKILSON
musique : JOBY TALBOT
scénario : PIERS ASHWORTH, NICK MOORCROFT
GB 2010
l'histoire : burke et hare sont deux amis qui tentent de survivre de leur arnaques, par hasard ils s'apercoivent qu'un cavadre frais peut leur rapporter beaucoup d'argent, a edimbourg haut lieu de la medecine en europe les chercheurs sont a cours de cadavres humais pour pratiquer leur expérience, burke et hare vont alors provoquer des accidents pour avoir des cavadres frais.......
burke accomplira les meurtres pour l'amour de ginny
william hare (ANDY SERKIS) et william burke (SIMON PEGG) les deux malfaisants personnages
premier cadavre.....mais celui-ci revendu "honnetement"
les veritables BURKE et HARE immigrés irlandais coupables de 17 crimes a edimbourg entre 1827 et 1828
pour une fois le sort n'est pas favorables a BURKE et HARE
ginny hawkins (ISLA FISHER) et les autres catins pretent a soudoyer quelqu'un pour monter leur piece de théatre
le docteur knox (TOM WIKILSON) et son assistant patterson (MICHAEL SMILEY) sont désormais les complices des deux assassins
MA CRITIQUE : JOHN LANDIS est surtout connu pour l'un de ses premiers films LE LOUP-GAROU DE LONDRES qui a l'époque été deja une comedie d'épouvante ou l'horreur été accentuée, mais le genre ou excelle LANDIS est sans doute la comedie pure quelques fois réussit comme UN FAUTEUIL POUR DEUX, THE BLUES BROTHERS ou les navrants L'EMBROUILLE EST DANS LE SAC et blues brothers 2000......pour ce BURKE AND HARE si la reconstitution d'époque est remarquable, les acteurs tres bons dans leur ensemble c'est dans l'humour noir que le film se saborde car cet humour d'une autre époque ne fais plus sourire désormais, donc but raté pour LANDIS mais les qualités plastique et artistiquent sont la ...... la déception vient surtout de l'attente entre son dernier film et celui ci 12 ans presque pour rien !!!
A NOTER : l'acteur DAVID TENNANT (FRIGHT NIGHT) a été préssenti pour le role de W.HARE qu'il du abandonner......... les deux compères JOHN CLEESE et DAN AYKROYD furent conviés ainsi qu'une version un peu plus sérieuse avec COLIN FARELL et ERWAN McGREGOR dommage........ les véritables BURKE et HARE on commis en tout 17 meurtres.........plusieurs caméo dans le film comme MICHAEL WINNER, RAY HARRYAUSEN, COSTAS GRAVAS..........le tournage s'est déroulé a londres et edimbourg..........la costumière DEBORAH NADOOLMAN est la femme de JOHN LANDIS.......le squelette au générique de fin est bien celui de burke !!!
MA NOTE : 6/10
a partir d'aujourd'hui chansons ou B.O seront intégrés voici la chanson du générique de fin THE PROCLAMERS "I'M GONNA BE"
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LE JOUR OU JE L'AI RENCONTRE (the art of getting by) réalisé par GAVIN WIESMAN
avec : EMMA ROBERTS, FREDDIE HIGHMORE, MICHAEL ANGARANO, RITA WILSON, SAM ROBARDS
musique : ALEC PURO
scénario : GAVIN WIESMAN
USA 2011
l'histoire : george adolescent intelligent et solitaire se trouve en terminale, malgré qu'il na jamais rendu un de ses devoir, il rencontre sally reine de beauté de l'école qui cache sa mélancolie derrière de le masque de sa popularité...un étrange lien va se nouer entre eux.
a la croisé des chemins pour sally (EMMA ROBERTS) et george (FREDDIE HIGHMORE)
mère protectrice vivian (RITA WILSON) soutient son fils ........
....pendant que la mère de sally, charlotte howe (ELIZABETH REASER) plus délurée que sa fille
l'échec de la non relation avec sally le grise encore plus
george montre ses talents de déssinateur aus amis de sally
un diner improvisé en tete a tete mais sally est trop impulsive face a george
GAVIN WIESEN avec le seul acteur de son choix FREDDIE HIGHMORE
MA CRITIQUE : THE ART OF GETTING BY n'est pas le simple teen-movie tourné a la chaine comme un fast food movies, mais une agréable comedie romantique, pour son premier long métrage GAVIN WIESEN a réussit la ou il voulait nous emmener,se fondre dans le role de george adolescent atypique, solitaire, reveur, artiste méconnu qui tombe amoureux de la bimbo du college des le premier regard, le film pose égalment le problème d'amitié entre fille et garçon souvent clos par une dispute ou une amourette....si le scénario n'est certes sans grande originalité, le tout est ammené avec finesse mais c'est plutot du coté de l'interpretation qu'il faut chercher car les deux tetes d'affiche sont remarquable et écrasent le film pour nous en faire oublier les second roles.....bref une bonne bouffée de romance et ne surtout ne pas oublier EMMA ROBERTS future grande star!!!
A NOTER : WIESEN a également écrit le scénario qui se veut autobiographique..........pour concevoir le personnage de george, la costumière ERIKA MUNRO s'est inspirée de WOODY ALLEN et CHARLIE CHAPLIN..........le titre de départ fut HOMEWORK........le tournage se déroula a NEW YORK......EMMA ROBERTS est la fille d'ERIC ROBERTS (frere de julia) et de KELLY CUNNINGHAM........ .et le film fut présenté au festival de SUNDANCE en 2011.....apparition d'ALICIA SILVERSTONE dans le role de MS herman
MA NOTE : 8,5/10
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LES NUITS AVEC MON ENNEMI (sleeping with the enemy) réalisé par JOSEPH RUBEN
avec : JULIA ROBERTS, PATRICK BERGIN, KEVIN ANDERSON
musique : JERRY GOLDSMITH
scénario : RONALD BASS
d'apres la nouvelle de NANCY PRICE
USA 1991
l'histoire : depuis trois ans laura et martin semblent faire le couple parfait, habitant dans une luxueuse villa au bord de l'eau, tout n'est quapparence car martin est violent, maniaque et d'une jalousie maladive, laura decide de s'enfuir a l'insue de son mari pour retrouver une vie normale ......
"je ne pourrais pas vivre sans toi ....et je ne te laisserais pas vivre sans moi"
laura est a nouveau épanouie....grace a ben
malgre la peur de l'eau, laura va etre contraint par son mari a une petite partie de voilier
quand ben (KEVIN ANDERSON) rencontre laura (JULIA ROBERTS)........
psychopathe, maniaque, pervers, possessif.....tous les qualificatifs sont bons pour dépeindre martin burney (PATRICK BERGIN)
laura prépare son plan pour enfin etre libre
laura peut-elle vraiment quelque chose contre l'obsession de son mari ??
MA CRITIQUE : JOSEPH RUBEN a réalisé trois fois le meme film, enfin presque et ceci en peu de temps, (LE BEAU-PERE, LE BON FILS) si les histoires sont differentes la linéaralité scénaristique sont identiques : dans un premier temps tous va pour le mieux du mon puis un changement de ton progréssif s'installe a la moitié du film pour en devenir une sorte de survival vers la fin....le probleme c'est que tout est convenu a l'avance, avec SLEEPING WITH THE ENEMY , RUBEN nous offre la sa meilleure oeuvre surtout sur l'interprétation ou nous retrouvons une jeune JULIA ROBERTS qui est la star montante de l'époque apres ses deux films PRETTY WOMAN et L'EXPERIENCE INTERDITE, JULIA ROBERTS apporte sa fraicheur et son innocense dans le role de la jeune épouse martyrisée, mais le meilleur role dans ce genre de film est bien évidement le méchant de service tenu par PATRICK BERGIN extraodinaire en mari possessif, jaloux et un peu maniaque sur les bords, quand au bellatre de service épris de la pauvre laura burney KEVIN ANDERSON fait tout simplement le boulot mais sans plus....si la réalisation est respectable, la photographie est quand a elle du niveau d'un TV film vraiment dommage, n'oublions pas aussi la tres bonne partition de JERRY GOLDSMITH et le gimmick accompagnant la présence de martin burney, la musique obsedante de HECTOR BERLIOZ "LA SYMPHONIE FANTASTIQUE"
A NOTER ; le film a été tourné a ABBEVILLE en CAROLINE DU SUD, JULIA ROBERTS promit de ne jamais plus remettre les pieds considerant le lieux comme étant un enfer et horriblement raciste !!!! ..........c'est PATRICK BERGIN qui eu l'idée d'utiliser la musique d'HECTOR BERLIOZ l'un de ses morceaux préférés.........KIM BASINGER a été approchée pour le role de laura burney , elle refusera au profit de JULIA ROBERTS
MA NOTE : 7/10
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