• WINCHESTER 73

    réalisé par ANTHONY MANN

    avec : JAMES STAWART, SHELLEY WINTERS, STEPHEN McNALLY, MILLARD MITCHELL, DAN DURYEA, WILL GEER, ROCK HUDSON, JOHN McINTIRE, TONY CURTIS

    scénario : BORDEN CHASE 

    D'après BIG GUN de STUART N.LAKE

    musique : JOSEPH GERSHENSON

    USA 1950

    l'histoire : le trajet d'un fusil prisé d'un propriétaire malheureux a un autre , la WINCHESTER 73, et la poursuite d'un cow-boy meurtrier en cavale

    WINCHESTER 73

    WINCHESTER 73

    il l'a possède désormais la fameuse "une sur mille" WINCHESTER 73

    WINCHESTER 73

    un concours que gagnera lin Mcadam

    WINCHESTER 73

    joe lamont (JOHN McINTIRE) en possession de la WINCHESTER 

    WINCHESTER 73

    peu glamour c'est pour moi le principal défaut du film

    WINCHESTER 73

    le jeune TONY CURTIS fait une apparition

    WINCHESTER 73

    lin Mcadam (JAMES STEWART) aux soins pour lola manners (SHELLEY WINTERS)

    MA CRITIQUE : FRITZ LANG avait déjà "touché" du western avec le très bon LE RETOUR DE FRANK JAMES (1940) et LES PIONNIERS DE LA WESTERN UNION en 1941, pressenti pour réaliser WINCHESTER 73, il se désiste , JAMES STEWART appelle alors ANTHONY MANN, il avait admiré son western LA PORTE DU DIABLE la même année.....l'histoire s'écrit et la collaboration avec J.STEWART va durer sur 5 films, WINCHESTER 73 le premier de la série ou J.STEWART est un peu moqué par les critiques et spectateurs le trouvant incapable de jouer dans un western, pourtant deux films cette année 1950 vont les faire changer d'avis , LA FLECHE BRISÉE et ce fameux WINCHESTER 73. ce n'est pas mon film préféré de ce superbe duo mais ce film reste un classique et parfaitement maitrisé par le réalisateur , J.STEWART est parfait , j'ai bien aimé STEPHEN McNALLY et JOHN McINTIRE , un peu moins SHELLEY WINTERS pas assez glamour a mon gout , deux apparitions de choix, d'abord ROCK HUDSON en indien et TONY CURTIS en soldat bleu.....assez original dans son contenu, WINCHESTER 73 tien en haleine jusqu'au final !

    A NOTER : J.STEWART a été fier de ce film qui lui a donné un regain de popularité après une série d'échec.................................la production n'avait pas les 200 000 $ pour payer J.STEWART, ce dernier ne réclama qu'une part des bénéfices qui furent d'un montant de 600 000 $................................J.STEWART c'est entrainé plusieurs jours pour manier la WINCHESTER pour plus d'authenticité...............................133 exemplaires de WINCHESTER furent fabriquées.............................DAN DURYEA est également apparut dans le remake de 1967...................................tourné a TUCSON en ARIZONA..............................2 250 000 $ de recette aux USA et 917 393 entrées en FRANCE.

    MA NOTE 7/10

    WINCHESTER 73

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  • LE DERNIER TRAIN DU KATANGA (dark of the sun)

    réalisé par JACK CARDIFF

    avec : ROD TAYLOR, YVETTE MIMIEUX, JIM BROWN, PETER CARSTEN, KENNETH MORE , ANDRE MORELL, OLIVIER DESPAX

    scénario : RANALD McDOUGALL

    D'après le roman de WILBUR SMITH "DARK OF THE SUN" 1965

    musique : JAQUES LOUSSIER

    USA/GB 1968

    l'histoire : une bande de mercenaires traverse le CONGO déchiré par la guerre , affrontant des armes rivales , pour voler 50 millions de $ de diamants non taillés . mais des luttes intestines , des rebelles sadiques mettent tout en péril.

    LE DERNIER TRAIN DU KATANGA

    LE DERNIER TRAIN DU KATANGA

    le capitaine henlein n'a pas de pitié 

    LE DERNIER TRAIN DU KATANGA

    scène culte et violente, le capitaine henlein (PETER CARSTEN) et le capitaine curry

    LE DERNIER TRAIN DU KATANGA

    le capitaine curry, découvre son ami ruffo massacré 

    LE DERNIER TRAIN DU KATANGA

    échappée périlleuse !!!

    LE DERNIER TRAIN DU KATANGA

    curry ne lache plus claire (YVETTE MIMIEUX) 

    LE DERNIER TRAIN DU KATANGA

    le capitaine curry (ROD TAYLOR) et ruffo (JIM BROWN) doivent conduire le fameux train pour PORT REPRIEVE

    MA CRITIQUE : l'année 1968 fut un bon cru : LA PLANETE DES SINGES, 2001, ODYSSÉE DE L'ESPACE, ROSEMARY BABY, PENDEZ-LES HAUTS ET COURTS pour ne citer que ceux-la......DARK OF THE SUN est un peu a contre-courant de toutes les sorties de 1968, il peu se rapprocher de QUAND LES AIGLES ATTAQUES....mais le film de JACK CARDIFF a une identité propre et surtout une scène culte celle du combat inégal que livre ROD TAYLOR contre PETER CARSTEN armé d'une tronçonneuse !!!!......8 ans après le fabuleux, LA MACHINE A EXPLORER LE TEMPS, le couple R.TAYLOR / Y.MIMIEUX se reforme dans des rôles complètements différents. un film assez violent ou R.TAYLOR joue magnifiquement le méchant en face est a son égal et montre tous ce qu'il y a de mauvais dans la nature humaine, JACK CARDIFF filme admirablement les scènes de combats, il ne faut pas oublier JIM BROWN quand a YVETTE MIMIEUX elle essaye de se faire une place dans un film d'homme....pas évident

    A NOTER : ce film a eu une influence sur QUENTIN TARANTINO , il a utilisé des morceaux de musique pour INGLOURIOUS BASTERDS (2009), ROD TAYLOR apparaît sous le nom de WINSTON CHURCHILL...........................R.TAYLOR et J.BROWN ne s'aimaient pas provoquant des tensions lors du tournage..............................pour le rôle de bruce curry, CLINT WALKER fut le premier choix.................................tourné en JAMAIQUE.

    MA NOTE : 8/10

    LE DERNIER TRAIN DU KATANGA

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  • AMERICAN BEAUTY

    réalisé par SAM MENDES

    avec : KEVIN SPACEY, ANNETTE BENING, THORA BIRCH, WES BENTLEY, MENA SUVARI, PETER GALLAGHER

    scénario : ALAN BALL

    musique : THOMAS NEWMAN

    récompenses : 112 prix dont celui de l'OSCAR du meilleur acteur pour KEVIN SPACEY en 2000

    USA 1999

    l'histoire : un père de banlieue sexuellement frustré entre en pleine crise de la quarantaine après s'être épris de la meilleure amie de sa fille.

    AMERICAN BEAUTY

    AMERICAN BEAUTY

    la provocation !!

    AMERICAN BEAUTY

    carolyn burnham (ANNETTE BENING) offusquée devant la passivité de son mari 

    AMERICAN BEAUTY

    ricky fitts (WES BENTLEY), jane, angela .....trois petits diables !

    AMERICAN BEAUTY

    pour lester burnham (KEVIN SPACEY) le déclic 

    AMERICAN BEAUTY

    angela hayes (MENA SUVARI) apparaît comme un ange

    AMERICAN BEAUTY

    jane burnham (THORA BIRCH) s'oppose a son père 

    MA CRITIQUE : nous avons faillit perdre KEVIN SPACEY a cause des scandales ou il en est sorti blanchi , car c'est un acteur exceptionnel que j'ai vu dans ce très beau film ou on a l'impression qui va se passer quelque chose toutes les deux minutes alors que le rythme du film est assez lent et la c'est une prouesse de la part de SAM MENDES (LES SENTIERS DE LA PERDITION 2002), 007 SPECTRE (2015), un premier film entièrement réussit et d'une rare beauté, AMERICAN BEAUTY est un chef d'oeuvre qui dépeint la vie d'une famille classique américaine et pourtant il va se passer pas mal de choses.......sur une musique discrète, KEVIN SPACEY parvient a dominer le film de bout en bout mais il est aidé par de formidables acteurs , ANNETTE BENING bien sur mais aussi cette nouvelle génération qui a éclaté a l'aube des années 2000, l'étonnante MENA SUVARI, THORA BIRCH déja aguerrit a de seconds rôles va ici s'affirmer et WES BENTLEY qui fait parti de la génération post 2000.......une grosse claque difficile de s'en remettre après le générique final !

    A NOTER : quand lester (SPACEY) lance les asperges , les réactions de A.BENING et T.BIRCH sont sincères..........................la titre du film fait référence a des roses , jolie et attrayante en apparences mais qui pourrissent assez vite.............................le producteur STEVEN SPIELBERG a reçu le scénario le samedi soir , le lundi matin il déclara faisons ce film sans changer un mot...........................la main et ventre de l'affiche ne son pas de M.SUVARI mais de deux mannequins / actrices : CHRISTINA HENDRICKS et CHLOE HUNTER..........................pour le rôle de ricky furent auditionnés JAKE GYLLENHAAL et SETH GREEN.............................pour le rôle de lester : CHEVY CHASE et TOM HANKS furent proposés............................tourné a SACRAMENTO en CALIFORNIE..........................un budget de 15 millions de $ pour une recette de 356 296 601 $

    MA NOTE : 10/10

    AMERICAN BEAUTY

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  • LE CLAN

    réalisé par ÉRIC FRATICELLI

    avec : DENIS BRACCINI, JEAN-FRANÇOIS PERRONE, PHILIPPE CORTI, ERIC FRATICELLI, JOSEPHINE DE MEAUX

    scénario : ÉRIC FRATICELLI

    musique : FREDERIC JUNQUA

    FRANCE 2023

    l'histoire : fred, achille, max et belette quatre truands qui forment une équipe de bras cassés , après un coup raté cherche a se refaire en kidnappant SOPHIE MARCEAU.

    LE CLAN

    LE CLAN

    kidnappée a la place de SOPHIE MARCEAU, jocelyne bompart (JOSEPHINE DE MEAUX) commence a se plaire avec la bande

    LE CLAN

    un accident est vite arrivé......dur pour max "le raleur" (PHILIPPE CORTI)

    LE CLAN

    partie de MONOPOLY désopilante ou francis "belette" (ÉRIC FRATICELLI)

    MA CRITIQUE : cela paye pas de mine et pourtant j'ai rit volontier , la corse encore en point de mire avec toutes ses qualités et ses défauts . réalisé par ÉRIC FRATELLI qui joue le bébête de la bande , beaucoup de bons gags , les acteurs sont biens sympa , pas grand chose a dire sinon que ce n'est pas le film du siècle mais j'ai rit vraiment ce qui ne m'arrive que rarement dans une comédie française !

    A NOTER : 216 106 entrées en FRANCE et 1 316 331 $ de recette mondiale.

    MA NOTE : 7/10

    LE CLAN

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  • LES BASKETS SE DECHAINENT ! (massacre at central high)

    réalisé par RENE DAALDER

    avec : DERREL MAURY, ANDREW STEVENS, ROBERT CARRADINE, KIMBERLEY BECK, RAY UNDERWOOD, STEVE BOND

    scénario : RENE DAALDER

    musique : TOMMY LEONETTI

    USA (1976)

    l'histoire : un lycéen poussé a bout par un trio d'intimidateurs brutaux recourt au meurtre pour récupérer l'école de l'oppression , puis se retourne contre les étudiants qui veulent combler le vide de leurs oppresseurs.

    LES BASKETS SE DÉCHAINENT

    LES BASKETS SE DÉCHAINENT

    elles attendent la gente masculine

    LES BASKETS SE DÉCHAINENT

    des meurtres graphiques

    LES BASKETS SE DÉCHAINENT

    le massacre commence 

    LES BASKETS SE DÉCHAINENT

    une des nombreuses affiches du film

    LES BASKETS SE DÉCHAINENT

    le groupe se forme

    LES BASKETS SE DÉCHAINENT

    mark (ANDREW STEVENS) fait le jolie coeur avec theresa (KIMBERLY BECK)

    MA CRITIQUE : les distributeurs français n'ont sans doute pas vu une seule seconde de la bande-annonce ou même lire le synopsis tant la différence est grande entre les deux affiches, celle française qui ferait croire a un "teen movie" de comédie genre PORKY'S (1982) ou AMERICAN GRAFFITI sorti avant le film de ce soir , l'affiche du pays d'origine elle donne plutôt dans le film d'horreur avec un titre hautement plus explicite : MASSACRE AT CENTRAL HIGH !!!!......et les ricains n'ont pas tort car c'est a un "slasher" que nous avons affaire pas de la même façon que  BLACK CHRISTMAS (1974). a la manière de SA MAJESTÉ DES MOUCHES (1963 et 1990) c'est a partir d'un harcèlement a l'école ou l'on devine celui qui va dominer ou être dominer ....ce n'est pas un grand film mais il donne un certain coup de fouet et pose de nombreuses questions.........aux casting sortent du lot, ANDREW STEVENS et ROBERT CARRADINE mais l'ensemble demeure assez amateur......a découvrir , une curiosité !

    A NOTER : le réalisateur RENE DAALDER s'est offusqué de la musique du film et n'a pas regardé son film pendant 30 ans après sa sortie...........................exception de la danse a la fin du film, aucun adulte ne peut être vu................................MARK HAMILL fut considéré pour le rôle de david...................................sorti en ITALIE sous le titre de SEXY JEANS.............................tourné a POMONA COLLEGE en CALIFORNIE........................un budget de 400 000 $

    MA NOTE : 6/10

    LES BASKETS SE DÉCHAINENT

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