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INSIDIOUS : LA DERNBIERE CLÉ (insidious : the last key)
réalisé par ADAM ROBITEL
avec : LIN SHAYE, CAITLIN GERARD, SPENCER LOCKE, JAVIER BOTET, JOSH STEWART, LEIGH WHANNELL, ANGUS SAMPSON
scénario : LEIGH WHANNELL
musique : JOSEPH BISHARA
USA 2018
l'histoire : le docteur élise rainier, la brillante parapsychologue , va affronter le cas le plus effrayant et le plus personnel de son histoire : elle doit intervenir dans sa propre maison..............................
élise voit ce qui est invisible pour d'autres
gerald rainer (JOSH STEWART) pervers et bourreaux d'élise
la dernière clé est trouvée
nos trois ghostbusters ....specs (LEIGH WHANNELL), élise et tucker (ANGUS SAMPSON)
élise retrouve son frère christian (BRUCE DAVIDSON)
un endroit qui rappelle tant de mauvais souvenir a élise
élise (LIN SHAYE) en proie a ses démons
MA CRITIQUE : dans la ligné des précédents films de la saga, ce quatrième volets se distingue par un bon scénario et pourrais facilement passer pour le meilleur opus......réalisé par un petit spécialiste du genre (L'ÉTRANGE CAS DE DÉBORAH LOGAN et PARANORMAL ACTIVITY : THE GHOST DIMENSION) ...le film d'ADAM ROBITEL retrace l'enfance malheureuse d'élise avec un père pervers a souhait et apporte un regard neuf envers ce personnage.....quelques jumpscares pour agrémenter ce bon film d'horreur, a noter aussi la présence d'humour qui faisait défaut dans les autres films de la saga .....on espère la boucle bouclée pour finir enfin en beauté !!!
A NOTER : l'affiche est similaire au film d'horreur de 1985 : HOUSE.........................plus de 165 millions de $ de recettes dans le monde
MA NOTE : 7,5/10
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MIDNIGHT RUN
réalisé par MARTIN BREST
avec : ROBERT DE NIRO, CHARLES GRODIN, JOHN ASHTON, DENIS FARINA, YAPHET KOTTO, JOE PANTOLIANO, ROBERT MIRANDA
scénario : GEORGE GALLO
Musique : DANNY ELFMAN
récompenses : 2 prix dont celui meilleur acteur pour CHARLES GRODIN au FESTIVAL DU FILM DE VALLADOLID en 1988
USA 1988
l'histoire : jack wash, flic intègre a quitté la police parce qu'il refusé de se laisser acheter par un caid de la drogue. il est maintenant chasseur de prime pour le compte de eddie moscone a LOS ANGELES et doit retrouver le comptable qui a réussit a escroquer le fameux caid..............................
100 000 $ voila ce que vaut mardukas !!!
tout le monde veut la peau du "duc"
collaboration difficile entre alonzo mosely (YAPHET KOTTO) et jack wash
un échange crucial entre jimmy serrano (DENIS FARINA) et jack wash
si wash veut retrouver sa "proie" il doit passer par les armes
john mardukas dit "le duc" (CHARLES GRODIN) entouré des deux chasseurs de primes a sa poursuite, jack wash (ROBERT DE NIRO) et mervin dorfler (JOHN ASHTON)
MA CRITIQUE : après le succès surprise mais mérité de LE FLIC DE BEVERLY HILLS, MARTIN BREST récidive dans le buddy-movie et cette fois-ci c'est une star qui prend place dans le premier rôle, le très attendu ROBERT DE NIRO face a lui CHARLES GRODIN roi de la comédie a deux balles (BEETHOVEN 1 et 2, QUAND HARRIET DECOUPE CHARLIE) le tandem parait inégal a première vu, mais non les deux acteurs sont complémentaires et nous livrent une belle prestation et l'on peu penser a LA CHEVRE le film de FRANCIS VEBER..............une belle réussite ou l'on retrouve aussi de bon second rôles, YAPHET KOTTO et DENIS FARINA , deux heures que l'on ne voit pas passer et une bonne soundtrack de DANNY ELFMAN bien différente de ses collaborations avec TIM BURTON.....comédie, thriller, émotions , tout y passe ....a voir sans se lasser !!!!
A NOTER : pour faire face a DE NIRO, c'est CHER qui devait avoir le rôle mais le réalisateur rejeta l'idée d'une confrontation homme/femme, la PARAMOUNT suggéra donc ROBIN WILLIAMS , mais M.BREST préféra C.GRODIN............................les cicatrices aux poignées de C.GRODIN sont vraies car il a du jouer avec des menottes une grande parti du film.......................R.DE NIRO a passé du temps avec des chasseurs de primes pour les besoins de son rôle.....................le film fut tourné en ARIZONA, CHICAGO, NEW YORK, LOS ANGELES, au MICHIGAN, MANHATTAN, LAS VEGAS, en IDAHO et NOUVELLE-ZÉLANDE..........................le mot "fuck" fut prononcé 119 fois..........................BRUCE WILLIS fut considéré pour le rôle de mardukas..........................en 2010 DE NIRO prévoyait de faire une suite...............................DUSTIN HOFMANN fut considéré pour le rôle de wash.
MA NOTE : 8/10
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MOI, TONYA (i, tonya)
réalisé par GREG GILLEPSIE
avec : MARGOT ROBBIE, SÉBASTIAN STAN, ALLISON JANNEY, McKENNA GRACE, JULIANNE NICHOLSON, CAITLIN CARVER
scénario : STEVEN ROGERS
musique : PETER NASHEL
récompenses : 37 prix dont celui de l'OSCAR du meilleur second rôle féminin pour ALLISON JANNEY
USA 2017
l'histoire : en 1994 le milieu sportif est boulversé en apprenant que NANCY KERRIGAN, jeune patineuse artistique promise a un brillant avenir est sauvagement attaquée . plus choquant encore, la championne TONYA HARDING, et ses proches son soupçonnés d'avoir planifié et mis a exécution l'agression...........................
"le triple axel" qui fut la spécialité de tonya
la vraie TONYA HARDING
pour lavona fay golden (ALLISON JANNEY) .....le fric d'abord !!!
jeff veut trouver le moyen de faire gagner sa femme a tout prix
l'étau se resserre autour de jeff (SÉBASTIAN STAN) et tonya
tonya folle de rage en voyant ses notes !!!
tonay (MARGOT ROBBIE) demande aux juges une nouvelle chance
MA CRITIQUE : du réalisateur australien GRAIG GILLESPIE je ne connais que l'immonde remake de FRIGHT NIGHT (2011) , avec ce biopic le bougre remonte dans mon estime, bien réalisé j'ai beaucoup appris sur cette personne très atypique et bien sur le conflit entre TONYA HARDING et NANCY KERRIGAN, après une enfance sous la coupelle d'une mère qui ne pense qu'a faire du fric avec sa fille, puis un mariage raté et la patineuse devient vite femme battue et l'on comprend le caractère qui s'est forgé en elle.....du drame a l'humour, c'est un film très agréable a suivre moi qui ne suit pas fan de patinage artistique j'ai pris plaisir de voir ce conte de fée raté ....le casting on peu retrouver la belle MARGOT ROBBIE (LE LOUP DE WALL STREET, SUICIDE SQUAD) est vraiment excellente et tien ici son meilleur rôle, elle est très bien accompagné de SÉBASTIAN STAN (CAPTAIN AMERICA, ANT-MAN) et les second rôles sont savoureux, sans oublier une bonne B.O qui vous rappelleras de bon souvenir ....une bonne surprise !!!
A NOTER : ALLISON JANNEY qui joue la mère de tonya voulait devenir patineuse pro mais a 17 ans elle s'est sérieusement blessée a la jambe droite......................M.ROBBIE s'est beaucoup entraîné mais pour le triple axel elle a du avoir recourd aux effets visuels.........................N.KERRIGAN a déclaré de ne pas vouloir regarder le film.
MA NOTE : 8/10
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LA FUREUR DE VIVRE (rebel without cause)
réalisé par NICHOLAS RAY
avec : JAMES DEAN, NATHALIE WOOD, SAL MINEO, JIM BACKUS, ANN DORAN, COREY ALLEN, ROCHELLE HUDSON
scénario : IRVING SHULMAN, STEWART STERN
musique : LEONARD ROSENMAN
récompenses : 2 prix dont celui du GOLDEN GLOBESde la meilleure actrice pour NATHALIE WOOD en 1956
USA 1955
l'histoire : jim stark est le petit nouveau du lycée, un jeune homme accablé de problème familiaux et brimé par ses camarades mais qui n'aspire pas a ce fondre dans le groupe entrainé malgré lui a un défi de vitesse avec buzz, chef d'un groupe de rebelle , ce dernier y perdra la vie, suite a ce drame, jim est entrainé dans la spirale de la violence ...............................
judy encourage buzz son boyfriend pour la course de la falaise
une fille, deux garçons.....trois possibilités !!!
JAMES DEAN l'icone d'une génération.....et le mythe perdureras bien plus tard
une jeunesse ou les conflits familiaux sont permanents
affiche américaine
judy (NATHALIE WOOD) a finalement jeté son dévolue sur jim
première altercation
jim contraint a un défi sous les yeux de platon (SAL MINEO)
et toujours les superbes affiches d'époque
la fameuse scène de combat au cran d'arrêt entre, buzz (COREY ALLEN) et jim stark (JAMES DEAN)
JAMES DEAN et COREY ALLEN en pause cigarette
MA CRITIQUE : oeuvre de toute une génération, celle des années 50, REBEL WITHOUT CAUSE est un classique de NICHOLAS RAY ont lui doit également JOHNNY GUITARE, JESSE JAMES, LE BRIGAND BIEN-AÏMÉ , LES 55 JOURS DE PEKIN, il met ici en vedette celui qui allé devenir l'emblème de cette jeunesse rebelle, JAMES DEAN qui ne verra jamais le film au cinéma car il décéderas un mois avant , J.DEAN deviendra l'icone que l'on sait et le film restera en mémoire pour cela....assez lent , bien inoffensif de nos jours , c'est de par son interprétation plutot que par son contexte , le film est agrémenté d'un superbe technicolor, la musique est un peu vieillotte.....quelques séquences marquantes comme le duel au couteau et la fameuse course auto au bord de la falaise et le cruel destin des trois protagonistes décédés trop jeunes JAMES DEAN 24 ans, NATHALIE WOOD 43 ans et SAL MINEO 37 ans .....un film qui tend a tombé un peu dans l'oublie mais ce NICHOLAS RAY la est a redécouvrir !!!
A NOTER : la scène d'ouverture entre J.DEAN et le jouet singe est totalement improvisé.............................SAL MINEO avait mis par erreur une chaussette rouge et une bleue ..............................les ventes de tee-shirt blanc ont explosés après la sortie du film............................l'ensemble du film se déroule sur 24 heures..........................JIM BACKUS qui joue le père de J.DEAN fut la voix de Mr MAGOO..............................a l'origine le film devait contenir un baiser entre J.DEAN et SAL MINEO.........................MARLON BRANDO avait fait un test filmé a NEW YORK en 1947 pour ce projet..........................N.WOOD qui n'avait que 16 ans a eu une relation avec le réalisateur N.RAY qui avait 43 ans.......................durant la scène de combat avec le cran d'arrêt, J.DEAN s'est blessé plusieurs fois, l'arme étant réelle.........................PAUL NEWMAN fut considéré pour le rôle de jim stark...........................DEBBIE REYNOLDS fut considérées pour le rôle de judy.................................le titre danois du film fut BLOOD SAVAGE.........................il y a une photo d'ALAN LADD dans le casier de l'école de platon..............................le premier rôle de DENNIS HOOPER.
MA NOTE : 6,5/10
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LOVE HUNTERS ou HOUNDS OF LOVE
réalisé par BEN YOUNG
avec : EMMA BOOTH, ASHLEIGH CUMMINGS, STEPHEN CURRY, SUSIE PORTER, HARRISON GILLBERTSON
scénario : BEN YOUNG
musique : DAN LUSCOMBE
récompenses : 13 prix dont celui du meilleur film a L'AUSTRALIAN TEACHERS OF MEDIA AWARDS en 2017
AUSTRALIE 2017
l'histoire : australie, été 1987, un soir alors que la jeune vicki se rend a une soirée elle est abordée dans la rue par evelyn et john white , deux trentenaires qui l'invitent chez eux . sur place elle comprend qu'elle est tombé dans un piège, séquestré sa seule chance de survie sera d'exploiter les failles du couple.........................
le couple de tortionnaires ....evelyn et son mari john (STEPHEN CURRY)
viols, humiliations, le lot quotidient de vicki
le cauchemar de vicki
evelyn (EMMA BOOTH) a la limite de la rupture
le hasard n'est toujours pas chanceux.....an quelques minutes vicki (ASHLEIGH CUMMINGS) sera prisonnière !!!
MA CRITIQUE : très glauque, dérangeant et surtout très réaliste, HOUNDS OF LOVE est intéressant malgré un rythme lent et un huis-clos dans la demeure des tortionnaires , le film vaut aussi par un bonne interprétation ou son choisit des acteurs méconnus du grand public, EMMA BOOTH (PARKER, GODS OF EGYPT) excellente dans un rôle assez ambigu , son mari commanditaire incarné par STEPHEN CURRY (SOLITAIRE)...un film qui ne plaira pas tous c'est certains, proche de PRISONNERS ou MARTYRS , ce long métrage de l'australien BEN YOUNG est une réussite et malgré qu'il soit classé dans le genre horreur (ce qu'il n'est pas ) il s'est fait une réputation auprès du grand public au point d'avoir une sortie cinéma ou le spectateur sera en immersion totale avec la victime !!!!
A NOTER : tourné en 20 jours..........................filmé entièrement en AUSTRALIE.
MA NOTE : 7/10
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